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detoilebleue,touteneuve,tenaitsursesgenouxson
chapeaudefeutrerond,sansquel'ombred'unepensée
animtsalargefacedeterrecuite,rasée
soigneusement,trouéededeuxgrosyeuxbleu-faence,
d'unefixitédeboeufaurepos.
Maisuneportes'ouvrit,matreBaillehache,qui
venaitdedéjeunerencompagniedesonbeau-frre,
lefermierHourdequin,paruttrsrouge,fraisencore
poursescinquante-cinqans,avecseslvresépaisses,
sespaupiresbridées,dontlesridesfaisaientrire
continuellementsonregard.Ilportaitunbinocle
etavaitlecontinuelgestemaniaquedetirerleslongs
poilsgrisonnantsdesesfavoris.
Ah!c'estvous,Delhomme,dit-il.LepreFouans'est
doncdécidéaupartage?
Cefutlafemmequirépondit.
Maisoui,monsieurBaillehacheNousavonstous
rendez-vous,pourtomberd'accordetpourquevous
nousdisiezcommentonfait.
Bon,bon,Fanny,onvavoirIln'estqu'uneheure
peine,ilfautattendrelesautres.
Etlenotairecausauninstantencore,demandant
leprixdubléenbaissedepuisdeuxmois,témoignant
Delhommelaconsidérationamicaledueuncultivateur
quipossédaitunevingtained'hectares,unserviteur
ettroisvaches.Puis,ilrentradanssoncabinet.
Lesclercsn'avaientpaslevélatte,exagérantles
craquementsdeleursplumes;et,denouveau,les
Delhommeattendirent,immobiles.C'étaitune
chanceuse,cetteFanny,d'avoirétéépouséepar
unamoureuxhonnteetriche,sansmmetreenceinte,
ellequi,poursapart,n'espéraitdupreFouanque
troishectaresenviron.Sonmari,dureste,
neserepentaitpas,cariln'auraitputrouverune
ménagreplusintelligenteniplusactive,aupointqu'il
selaissaitconduireentouteschoses,d'espritborné,
maissicalme,sidroit,quesouvent,Rognes,
onleprenaitpourarbitre.
Acemoment,lepetitclerc,quiregardaitdans