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d'héritagesontplusfortsqueceuxdeladémission
debiens
Buteau,danssonaffectationd'indifférence,neput
retenircecri:
Alors,c'estvrai,monsieurBaillehache?
Maissansdoute.Vousallezygagnerquelques
centainesdefrancs.
Lesautress'agitrent,levisagedeDelhommelui-
mmes'éclaira,tandisquelepreetlamrepartageaient
aussicettesatisfaction.C'étaitentendu,l'affaireétait
faite,dumomentqueacotaitmoins.
Ilmerestevouspsenterlesobservationsd'usage,
ajoutalenotaire.Beaucoupdebonsespritsblment
ladémissiondebiens,qu'ilsregardentcomme
immorale,carilsl'accusentdedétruirelesliens
defamilleOnpourrait,eneffet,citerdesfaits
déplorables,lesenfantsseconduisentdesfoistrsmal,
lorsquelesparentssesontdépouillés
Lesdeuxfilsetlafillel'écoutaient,labouche
ouverte,avecdesbattementsdepaupires
etunfrémissementdesjoues.
Quepapagardetout,s'ilacesidées!interrompit
schementFanny,trssusceptible.
Nousavonstoujoursétédansledevoir,ditButeau.
Etcen'estpasletravailquinousfaitpeur,déclara
Jésus-Christ.
D'ungeste,M.Baillehachelescalma.
Laissez-moidoncfinir!Jesaisquevoustesdebons
enfants,destravailleurshonntes;et,avecvous,iln'y
acertainementpasdedangerquevosparents
serepententunjour.
Iln'ymettaitaucuneironie,ilrépétaitlaphrase
amicalequevingt-cinqansd'habitudeprofessionnelle
arrondissaientsurseslvres.Maislamre,bienqu'elle
n'etpassemblécomprendre,promenaitsesyeux
bridés,desafillesesdeuxfils.Ellelesavaitélevéstous
lestrois,sanstendresse,dansunefroideurdeménagre
quireprocheauxpetitsdetropmangersurcequ'elle
épargne.Lecadet,elleluigardaitrancunedecequ'il