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monstrueuxdesvagues,etlancédansunabmesans
fond,lemalheureuxbricksemblaitdevoirs’engloutir
chaqueinstant.
–Tenez-vousauxhaubansetauxrteliers–criaitBenot–
cen’estrien,arafrachit,ilfaitsichaud!...etpuis
lapropretéde
Catherine
serafaitepourdemain...
etvous,loffez...loffez...ousinon...
Ilneputachever,unemontagned’eauquis’élevait
lahauteurdeshunes,déferlantcontreladunette,
sedéroulasurlepont,lecouvritdedébrisetseretira
parlaproueenemportantdeuxhommesqui
disparurentaumilieudesflots;cesdeuxhommes
venaient,jecrois,d’épouserlesdeuxsurs,deux
Nantaisesfrachesetroses;ilss’aimaientbeaucoup,
uneforteamitiédematelots;toujoursdequart
ensemble,toujoursivresensemble,toujourssebattant
ensemble,l’uns’étaitmariépourfairecommel’autre,
l’autresejetal’eaupoursauversonamioufaire
commelui,–senoyer.–Or,ilsfinirentainsiqu’ilsavaient
commencé:–ensemble!
Simons’étaitfortementaccrochéunedrisse;quand
lavaguefutécoulée,ilserelevafirement,lefront
intrépide,ruisselantd’eau,sescheveuxcolléssurses
joues.
Unmatelot,jetéviolemmentsurladrmeparcette
dernirelame,s’étaitcassélebras,ethurlaittrs-fort.
–Veux-tufermerlabouche,braillard–luiditSimon–
outuavaleraslapremire
baleine
quitomberabord.
Lescrisredoublaient.
–Aprstout,jem’enmoque–ditSimon–faislapompe
siat’amuse...
Ilfallaitbientcherdeconsoleretd’égayercepauvre
blessé.
–Ettoi,monbon
Caiot
–disaitlecapitaineBenot
autimonier–attention...
–Oh!capitaine–réponditcelui-ciens’essuyant
lefront–tantquelenaviregouvernera,
n’yapas
desoin
,abalance,c’est,saufrespect,commeletape-
culquiestNantesau
Panierfleuri
;autantjoueraqu’
